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Pourquoi certains arbres perdent-ils leurs feuilles alors que d’autres restent verts toute l’année ?
Pourquoi certaines espèces d’arbres perdent leurs feuilles à l’automne, tandis que d’autres restent vertes toute l’année ? Est-ce que cela reflète une adaptation des arbres à leur environnement ? Ces questions ont intrigué les écologues depuis longtemps, mais ce n’est que dans les dernières années qu’un cadre clair a émergé, permettant de mieux comprendre la signification de cette caractéristique des arbres. Textes de Charles Marty, Université du Québec à Chicoutimi.
The documentary film Up on the Mountain is a social portrait of the commercial harvest of wild mushrooms in the forests of western North America.
Texte du Comité ZIP du lac Saint-Pierre sur le statut du martinet ramoneur et les inventaires à leur sujet.
Reports of Bigfoot rise when at least 900 black bears are in the area
Where black bears are abundant, Bigfoot sightings usually follow – which could make reports of the mythical creature a way to measure American black bear populations
«Up on the Mountain is a documentary film that follows commercial mushroom pickers as they struggle to access public lands in the American West. A great companion to Anna Tsing's "A mushroom at the end of the world."»
« Sur la montagne », de Olivier Matthon et Michael Reis, 2021, 101’
Dans les forêts publiques de l’Ouest américain, des réfugiés d’Asie du Sud-Est, des migrants latino-américains, et des ruraux américains se déplacent toute l’année pour récolter des champignons sauvages. Ils travaillent à pied, simplement équipés d’un seau et d’un couteau de poche. La récolte des champignons leur permet d’être “leur propre patron”. La durabilité environnementale de cette activité est reconnue, pourtant ces travailleurs, qui approvisionnent les restaurants et les marchés d’Europe, du Japon et d’Amérique du Nord, se voient régulièrement refuser l’accès à leurs lieux d’activité.
Superbe documentaire sur les amphibiens et reptiles du Québec, disponible en location sur Vimeo. Hautement recommandé!
« Dans un profond sommeil depuis plusieurs mois sont les amphibiens et les reptiles du Québec. De toutes les espèces animales, elles sont parmi les plus discrètes et les plus méconnues. Leur histoire commence à la fin de l’hiver, dès la fonte des neiges. Voyez-les à travers toutes les étapes de leur vie en survolant les quatre saisons. Découvrez leurs luttes, et leur réalité qui change drastiquement sous notre influence. »
En février 2022, des chercheurs de l’UQTR et d’autres organisations ont passé quelques jours sur la surface gelée du lac Saint-Pierre, afin d’y récolter différentes données. Ces scientifiques espèrent ainsi en apprendre davantage sur les interactions entre la glace et la végétation aquatique, un sujet encore peu étudié. Ils souhaitent aussi améliorer les connaissances à propos de l’influence des relations plantes-glace sur les risques d’inondation.
"L'idée initiale vient du Japon, raconte M. Dhion. Le professeur Miyawaki est allé chercher des graines d'arbres dans les cimetières japonais, parce que ce sont des lieux sacrés et qu'on y trouvait des essences indigènes du Japon."
L'équipe de l'OBNL Hyf Forêts urbaines a elle aussi sélectionné une vingtaine d'espèces indigènes à planter à Boisbriand. "Il y aura plusieurs espèces d'érables. Pour les conifères, on va mettre du pin blanc, de l'épinette, du mélèze", explique Charles Marty, membre de l’organisme, qui est aussi chercheur en écologie forestière à l'Université du Québec à Chicoutimi. Le petit espace comptera également de nombreux arbustes et des arbres fruitiers.
Association proposant la plantation de mini-forêts en milieux urbains et semi-urbains, semble vraiment intéressant je dois regarder ça.
Les observations faites par le Comité ZIP du lac Saint-Pierre au cours des dernières années ont permis l’observation de plusieurs obstacles qui freinent l’accès à la faune aquatique sur l’île. Cela est surtout dû à la présence d’infrastructures désuètes ou absentes et d’amas importants de branches et/ou de troncs d’arbres dans le lit des cours d’eau.
La mise en marche du projet de restauration de la connectivité du réseau hydrique de l’île de Grâce avec le lac Saint-Pierre a commencé en 2018 et s’est divisée en trois phases. Pour la phase 3 de ce projet qui consistait en la restauration de la libre-circulation de la faune aquatique, plusieurs travaux ont été effectués en 2022.
Le Comité ZIP du lac Saint-Pierre a procédé au remplacement de 7 ponceaux. Le retrait des ponceaux problématiques, la pose des nouveaux ponceaux ainsi que la confection du lien de terre entourant ceux-ci ont été effectués à l’aide d’une mini-excavatrice. Les extrémités des ponceaux ont été stabilisées à l’aide d’une toile géotextile et de pierres afin de limiter les risques d’érosion.
«Malm se réclame du léninisme sans aucune réserve. Est-ce une provocation ? Une proposition stratégique ? Un peu des deux, croyons-nous. Remettre Lénine à l’ordre du jour aura été certainement une façon de susciter l’ire des anarchistes de l’Europe du Nord confortablement installés dans leurs positions libertaires, refusant de prendre le pouvoir d’État et encore moins de le transformer. Une perspective radicale écosocialiste implique, au contraire, une confrontation directe avec l’État capitaliste afin de limiter les impacts des changements climatiques. Dans ce sens, Lénine peut encore nous aider à construire cette perspective.»
Engouement pour la production de matériaux pour les piles électriques VS la protection du caribou.
En 2019, le Comité ZIP du lac Saint-Pierre a construit et installé, près des rives sur l’île de Grâce, un nichoir à hirondelle de rivage basé sur un nouveau modèle jamais utilisé auparavant. Le comité espérait alors accueillir ses premiers « pensionnaires » au printemps suivant. Le nichoir a-t-il été adopté ?
«Les principes de l’agroécologie proposent donc de soigner ce terreau malmené et de développer des systèmes de culture plus vertueux, tout en assurant d’avoir l’assiette remplie à la fin de la journée. Utopique ? « Il s’agit d’atteindre des niveaux de rendement proches de ceux de l’agriculture conventionnelle, tout en utilisant des solutions qui ont moins de dommages sur l’environnement », explique le chercheur de l’IITA.»