Avec de nouvelles découvertes chaque année, les ressources mondiales de lithium (98 millions de tonnes) ont pratiquement triplé depuis 2010. Ces quantités seraient suffisantes pour approvisionner le marché du lithium pendant 954 ans au taux de production actuel.
Un mont, des parcs, un lac, plusieurs rues, chemins et sentiers, et même un trou, ont officiellement hérité d’un nom en 2023. La Commission de toponymie du Québec a choisi 12 finalistes pour son concours annuel, avec plusieurs toponymes qui puisent dans la langue de la Nouvelle-France. Voici quelques-uns des noms retenus.
C’est à une fascinante exploration de l’« histoire connectée » entre le Québec et l’Inde, depuis la Conquête de 1760 jusqu’à l’indépendance indienne, en 1947, que nous invite le spécialiste de l’Asie Serge Granger, de l’Université de Sherbrooke. Il donne à voir la richesse d’échanges insoupçonnés entre deux peuples que tout éloignait — la géographie, la religion, la démographie —, mais que l’état de colonisé réunit.
Les fermes d’arbres de Noël peuvent fonctionner comme de jeunes forêts, déclare Andy Finton, écologiste forestier auprès de Nature Conservancy dans le Massachusetts. Deux ou trois jeunes arbres sont généralement plantés pour chaque arbre récolté et, selon Jill Sidebottom, porte-parole de la National Christmas Tree Association, les fermes d’arbres de Noël sont souvent installées sur des terres agricoles inutilisées, ce qui permet aux producteurs de conserver leurs espaces verts.
« Ils retirent le carbone de l’atmosphère », déclare M. Finton à propos des arbres.
[Mon pays, mes amours - Sorel], 1958, BAnQ Québec, Fonds Ministère de la Culture et des Communications, (03Q,E6,S7,SS2,DFC08022). https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/4529507..- Titre : [Mon pays, mes amours - Sorel]
- Créateur : Werner Nold ; Service de Ciné-Photographie ; Société Radio-Canada
- Date : 1958
- Genre : Archives textuelles
- Description :
- Document d'une série de reportages sur la vallée du Richelieu qui ont servi à illustrer les propos de Me Paul Gouin dans la série «Mon pays, mes amours» diffusée à Radio-Canada.Numéro de référence: FC08022
Depuis 2015, notre équipe de biologistes travaille sur un projet de conservation visant à réduire les menaces liées à l'exploitation des sablières, carrières et cannebergières sur l'Hirondelle de rivage. En effet, depuis 2017, l'espèce est inscrite sur la liste des espèces menacées au Canada, ce qui lui confère une protection légale en vertu de la Loi sur les espèces en péril.
Dans le cadre des consultations publiques qui auront lieu dans Bonaventure suite au redécoupage électoral provincial par la Commission de la représentation électorale - qui a pour but de fusionner des circonscriptions en Gaspésie - l'animateur Bruno Lelièvre et la journaliste Sarah Gagnon-Piché se sont penchés sur la question via le point de vue d'Alain Deneault lors d’un entretien par la journaliste Véronique Duval.
« […] On va parler d’acceptabilité sociale plutôt que ce que l’on nommait il y a 40 ou 50 ans la volonté populaire. Lorsque l’on fait preuve de volonté politique comme peuple souverain, on manifeste des projets, des envies, des inquiétudes, des urgences, etc., on est à l’origine du discours. Quand on est soumis à un dispositif d’acceptabilité, c’est que le discours (le projet ) vient d’ailleurs […] on est dans un rapport d’administrés […] »
Un centre de services scolaire prend les grands moyens pour contrer le «magasinage» d’écoles secondaires publiques en misant sur des écoles de quartier plus attrayantes et inclusives, où tous les élèves ont accès à des programmes particuliers gratuits et sans sélection, une première au Québec.
Au Centre de services des Chênes, à Drummondville, une petite révolution en branle depuis quelques années deviendra réalité l’automne prochain: les classes régulières disparaîtront pour faire place à des programmes en sport, en science ou en art, accessibles à tous.
Le pionnier de la cueillette d’algues sauvages au Québec a cessé ses récoltes en Gaspésie, car il vit dans la peur d’être poursuivi par Pêches et Océans Canada. Il demande l’intervention de la nouvelle ministre Diane Lebouthillier afin que le ministère qu’elle dirige cesse d’appliquer une réglementation « intransigeante » et « sans fondement scientifique » qui menace la survie de son entreprise.
Appréhender le wokisme comme un phénomène essentiellement protestant permet d’identifier la logique qui sous-tend certains rituels devenus monnaie courante ces dernières années : en particulier, l’excuse publique. À la différence des catholiques, qui se confessent en privé à leur prêtre afin d’obtenir l’absolution, nombre de protestants choisissent d’affirmer haut et fort leur vertu en se confessant publiquement.
Avec les pédagogies alternatives, « la bourgeoisie cultivée de gauche » qui souhaite éviter les écoles de secteur peut se détourner « de l'école publique mais sans opter pour le privée catholique, en se racontant qu'elle oeuvre à a promotion militante de modèles alternatifs, pour le bien-être de sa progéniture aujourd'hui, de tous les enfants demain quand l'école publique se convertira à la bonne façon de faire ». Et pourtant.
Les auteurs Pierre Lavoie et Jean-François Harvey plaident pour un plan national visant à remettre les jeunes en forme.
(....) une « concentration » en sports — où les jeunes pratiquent plusieurs disciplines de façon récréative — est préférable à un programme sports-études consacré à un seul sport d’élite. « Les jeunes se tannent d’avoir de la pression pour monter sur le podium. Ça les fait décrocher du sport », raconte-t-il.
Le sportif prône des programmes inclusifs, accessibles à tous les jeunes, peu importe l’épaisseur du portefeuille des parents. Cela exclut entre autres les programmes de hockey ou de ski alpin, qui coûtent une fortune en équipements et en frais de déplacement.
« Le sport d’élite ne rejaillit pas significativement sur le sport de masse ni sur la santé physique et mentale de la population », écrivent les auteurs.
Mario Cyr, plongeur émérite, et Samuel Côté, historien et chasseur d'épaves, suivent la piste d'épaves documentées, mais pas forcément localisées, afin de mettre au jour des vestiges liés à des récits passionnants. Épisode 2: Sam et Mario se rendent près des îles de Sorel pour mettre au jour ce qui est probablement l'un des plus grands cimetières d'épaves au Canada.
Le 15 juin 2023, Rio Tinto Fer et Titane inc. a été condamnée par la Cour du Québec, au palais de justice de Sorel-Tracy, à payer deux amendes totalisant 600 000 dollars, après avoir plaidé coupable à deux chefs d’accusation pour avoir enfreint la Loi sur les pêches. La condamnation fait suite à deux déversements de substances nocives survenus en juin et en décembre 2020. Les amendes seront versées en totalité au Fonds pour dommages à l’environnement du gouvernement du Canada et soutiendront des projets qui ont des répercussions positives sur les milieux naturels du pays.
L’animal est capricieux. Il aimerait bien qu’on lui laisse sa principale nourriture qu’il ingère tous les jours, le lichen : sorte de belle mousse croissant dans l’ombre des vieilles forêts résineuses de sapins et d’épinettes. Mais les coupes à blanc massives opérées sur leurs territoires mettent à mal leur nourriture, super longue à se régénérer. Et les chemins forestiers facilitent le passage des loups, prédateurs de notre tendre animal.
Résumé
Le lac Saint-Pierre est le site d’une biodiversité exceptionnelle. Toutefois, les activités anthropiques ont mené à la perte et à la dégradation des milieux naturels au cours des dernières décennies si bien que de nombreuses espèces fauniques, dont la perchaude (Perca flavescens), montrent des déclins marqués de leur population. La perte d’habitats de reproduction serait l’un des facteurs déterminants pour expliquer cette situation. Afin de documenter les changements d’occupation du sol survenus au niveau de la plaine inondable du lac Saint-Pierre, des photos aériennes prises à 3 périodes (1950, 1964 et 1997) ont été interprétées et comparées. Il en ressort qu’environ 3 200 ha d’habitats fauniques (milieux naturels + cultures pérennes) ont été modifiés dans la zone de récurrence d’inondation de 0-2 ans. Le changement le plus important concerne la conversion de quelque 2 500 ha de cultures pérennes (fourrages, pâturages) en cultures annuelles (maïs, soya) peu propices à la faune. Des habitats naturels ont également été modifiés, en particulier 350 ha de prairies humides. Outre la perchaude, d’autres groupes fauniques sont affectés par ces changements d’occupation du sol, notamment les passereaux et les canards barboteurs qui nichent dans les cultures pérennes et les prairies. La restauration d’habitats et le changement des pratiques agricoles font partie des actions qui peuvent être mises de l’avant pour favoriser le rétablissement des espèces en difficulté au lac Saint-Pierre.
Mots-clés :
agriculture, dynamique des habitats, Perca flavescens, plaine inondable, Québec
6 juin 2023 – En ce Mois de l’eau et la Semaine du Saint-Laurent, la Fondation Rivières, la Ville de Saint-Joseph-de-Sorel et la Municipalité de Sainte-Anne-de-Sorel rendent publics les résultats d’une étude qui révèle qu’en été et par temps sec, l’eau du fleuve en bordure du parc de la Pointe-aux-Pins, à Saint-Joseph-de-Sorel, et du parc Henri-Letendre, à Sainte-Anne-de-Sorel, est propice à la baignade. Il s’agit d’un premier pas vers un accès public à l’eau là où, il y a près de 100 ans, les berges des secteurs étudiés étaient d’importants lieux de villégiature de la Montérégie.
Récit de la première descente en canot recensée sur l’entièreté de la rivière du Petit Mécatina
Olivier Bourque : «Documents et courriels seulement en anglais, français absent lors de réunions, manque de considération envers les francophones, la langue de Shakespeare domine au sein de la corporation qui gère la voie maritime du Saint-Laurent (CGVMSL).»